Et de la musique de l'Ämmetau, d'ici à la Chräche et d'en haut à la Höger.
Lorenz Mühlemann : cithare à cordes, cithare à violon, hackbrett, dulcimer, concertina, guitare, ténor.
Thomas Keller : Hanottere, Häxeschit, Muörgeli, Contragitarre, Orgue à main
Le duo HANOTTERE joue un concert commenté avec programme à l'annonce. Une déclaration d'amour en musique à un instrument joyeux au son argenté et brillant, la cithare à manche de l'Emmental, oubliée pendant des décennies. Autrefois appelée Hanottere, elle apparaît déjà dans les romans de Gotthelf et est l'instrument à la mode de la population rurale du début du 19e siècle. L'ensemble HANOTTERE dépoussière la hanottere en profondeur. Nous jouons de la musique populaire de l'espace alpin et d'ailleurs, en combinant l'ancien, le nouveau et le propre, du plus tendrement contemplatif au plus joyeusement pulsatif. Des mélodies particulières tirées de très vieux livres de musique (Oberthal, vers 1830) résonnent aussi bien que des compositions de Lorenz Mühlemann et des histoires musicales librement inventées comme le "Carneval de Sumiswald", qui, interprétées dans un esprit d'improvisation, prennent toujours de nouvelles tournures et couleurs. U de no Musig aus em Ämmitau, vo z'hingerscht aus de Chräche u z'höchscht vo de Höger.
Lorenz Mühlemann a ouvert en 1999 le seul musée de la cithare en Suisse et est l'auteur de quatre livres spécialisés et de plus de 20 enregistrements. Depuis 2003, le centre culturel suisse de la cithare se trouve dans les locaux de l'Amtsschaffnerei, construite en 1614 à Trachselwald. L'exploitation va bien au-delà d'un musée traditionnel ; avec ses offres supplémentaires telles que l'école de musique, l'atelier, le magasin spécialisé, les archives, l'édition de partitions et le placement de concerts, il s'agit d'un point de contact national pour tout ce qui concerne la cithare en soi. Avec ses cours intensifs, ses concerts commentés et son travail de relations publiques varié, il est connu depuis plus de 25 ans comme le rénovateur de la musique et de la culture de la cithare en Suisse.
Plus d'informations : www.zither.ch
Thomas Keller, s'intéresse depuis des décennies à la musique populaire et a appris lui-même à jouer de différents instruments. Thomas ne lit pas de partitions, écoute bien, joue bientôt simplement avec les autres, est un vétéran de la musique populaire et un Hanötteler (joueur de cithare à gorge de l'Emmental) doué. Il s'est fait connaître avec la musique de danse bernoise et plus tard avec des formations telles que Hiesix, Eigets, Neoländler, HANOTTERE
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
Lorenz Mühlemann : cithare à cordes, cithare à violon, hackbrett, dulcimer, concertina, guitare, ténor.
Thomas Keller : Hanottere, Häxeschit, Muörgeli, Contragitarre, Orgue à main
Le duo HANOTTERE joue un concert commenté avec programme à l'annonce. Une déclaration d'amour en musique à un instrument joyeux au son argenté et brillant, la cithare à manche de l'Emmental, oubliée pendant des décennies. Autrefois appelée Hanottere, elle apparaît déjà dans les romans de Gotthelf et est l'instrument à la mode de la population rurale du début du 19e siècle. L'ensemble HANOTTERE dépoussière la hanottere en profondeur. Nous jouons de la musique populaire de l'espace alpin et d'ailleurs, en combinant l'ancien, le nouveau et le propre, du plus tendrement contemplatif au plus joyeusement pulsatif. Des mélodies particulières tirées de très vieux livres de musique (Oberthal, vers 1830) résonnent aussi bien que des compositions de Lorenz Mühlemann et des histoires musicales librement inventées comme le "Carneval de Sumiswald", qui, interprétées dans un esprit d'improvisation, prennent toujours de nouvelles tournures et couleurs. U de no Musig aus em Ämmitau, vo z'hingerscht aus de Chräche u z'höchscht vo de Höger.
Lorenz Mühlemann a ouvert en 1999 le seul musée de la cithare en Suisse et est l'auteur de quatre livres spécialisés et de plus de 20 enregistrements. Depuis 2003, le centre culturel suisse de la cithare se trouve dans les locaux de l'Amtsschaffnerei, construite en 1614 à Trachselwald. L'exploitation va bien au-delà d'un musée traditionnel ; avec ses offres supplémentaires telles que l'école de musique, l'atelier, le magasin spécialisé, les archives, l'édition de partitions et le placement de concerts, il s'agit d'un point de contact national pour tout ce qui concerne la cithare en soi. Avec ses cours intensifs, ses concerts commentés et son travail de relations publiques varié, il est connu depuis plus de 25 ans comme le rénovateur de la musique et de la culture de la cithare en Suisse.
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Thomas Keller, s'intéresse depuis des décennies à la musique populaire et a appris lui-même à jouer de différents instruments. Thomas ne lit pas de partitions, écoute bien, joue bientôt simplement avec les autres, est un vétéran de la musique populaire et un Hanötteler (joueur de cithare à gorge de l'Emmental) doué. Il s'est fait connaître avec la musique de danse bernoise et plus tard avec des formations telles que Hiesix, Eigets, Neoländler, HANOTTERE
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