Simplicité tactile sur une multitude d'instruments
Inhabituel et pourtant familier
"Nous regardons au-delà de la colline de l'Emmental vers tous les mondes et toutes les époques".
Avec une variété d'instruments rares, "Neoländler" interprète la musique populaire alpine à sa manière - inhabituelle et pourtant familière, leur répertoire s'étend de morceaux traditionnels joués de manière rafraîchissante à des compositions originales dédiées à l'Emme, à la Süessegg (de Hinterarni à la Lushütte...) ou à d'autres lieux à fort rayonnement de l'Emmental.
Sur les traces de la musique populaire alpine, ils se déplacent autour du Napf, regardent depuis les hauteurs aussi bien au milieu du Muotatal en Suisse centrale que le long des frontières suisses et au-delà jusqu'au Val d'Anniviers et à Soglio, à la frontière entre les Grisons et l'Italie. En chantant et en jouant, les "Neoländler" font ainsi de la musique par-delà les frontières : frontières entre le local et le lointain, entre le propre et l'étranger, entre l'ancien et le nouveau - tout en gardant un pied ancré dans leur patrie, l'Emmental.
Leur dernier CD "Ufbruuch" est consacré à l'Emmental. Des chansons et des danses traditionnelles de l'Emmental, comme un rang de vaches ou un morceau à l'harmonica en rythme alterné, sont complétées par leurs propres chansons et danses. Ils emmènent leurs auditeurs et auditrices en voyage et présentent des images d'ambiance qui osent aussi jeter un regard derrière l'idylle "collines-vaches-fromage-géranium" : mélancolique, volontaire, émouvant pour le cœur, intime et toujours avec la force de l'élémentaire. En suivant des traces, en laissant des traces : le départ.
Susanne Jaberg : violon, cithare à manche, schwyzerörgeli, langnauerli, scie chantante, flûte à une main de l'Emmental, cuillère en bois, ukulélé
Thomas Keller : Diverses cithares à gorge (Hanottere, Krienser Halszither, Toggenburger Halszither), harmonica, Häxeschit, guitare, basses d'orgue à main
Iris Keller : chant, juju, violon, ukulélé, harmonica, guimbarde, haxeschit, vielle à roue, épinette des Vosges
Lorenz Nejedly : basse électrique, cithare à gorge
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
Inhabituel et pourtant familier
"Nous regardons au-delà de la colline de l'Emmental vers tous les mondes et toutes les époques".
Avec une variété d'instruments rares, "Neoländler" interprète la musique populaire alpine à sa manière - inhabituelle et pourtant familière, leur répertoire s'étend de morceaux traditionnels joués de manière rafraîchissante à des compositions originales dédiées à l'Emme, à la Süessegg (de Hinterarni à la Lushütte...) ou à d'autres lieux à fort rayonnement de l'Emmental.
Sur les traces de la musique populaire alpine, ils se déplacent autour du Napf, regardent depuis les hauteurs aussi bien au milieu du Muotatal en Suisse centrale que le long des frontières suisses et au-delà jusqu'au Val d'Anniviers et à Soglio, à la frontière entre les Grisons et l'Italie. En chantant et en jouant, les "Neoländler" font ainsi de la musique par-delà les frontières : frontières entre le local et le lointain, entre le propre et l'étranger, entre l'ancien et le nouveau - tout en gardant un pied ancré dans leur patrie, l'Emmental.
Leur dernier CD "Ufbruuch" est consacré à l'Emmental. Des chansons et des danses traditionnelles de l'Emmental, comme un rang de vaches ou un morceau à l'harmonica en rythme alterné, sont complétées par leurs propres chansons et danses. Ils emmènent leurs auditeurs et auditrices en voyage et présentent des images d'ambiance qui osent aussi jeter un regard derrière l'idylle "collines-vaches-fromage-géranium" : mélancolique, volontaire, émouvant pour le cœur, intime et toujours avec la force de l'élémentaire. En suivant des traces, en laissant des traces : le départ.
Susanne Jaberg : violon, cithare à manche, schwyzerörgeli, langnauerli, scie chantante, flûte à une main de l'Emmental, cuillère en bois, ukulélé
Thomas Keller : Diverses cithares à gorge (Hanottere, Krienser Halszither, Toggenburger Halszither), harmonica, Häxeschit, guitare, basses d'orgue à main
Iris Keller : chant, juju, violon, ukulélé, harmonica, guimbarde, haxeschit, vielle à roue, épinette des Vosges
Lorenz Nejedly : basse électrique, cithare à gorge
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
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